Bonjour, Didier-david.

Vous avez raison de souligner que la femme de ménage demeure une présumée victime, ce que je venais d’écrire dans un commentaire passé à la trappe par suite d’une fausse manip.

Cela dit, je ne sais que penser de cette affaire :

D’un côté, un DSK potentiellement « capable » d’agression sexuelle si l’on se réfère à sa réputation.

De l’autre, un DSK qui est parti normalement de l’hôtel après avoir procédé dans des conditions non moins normales au check-out (où était l’agressée ?) ; un DSK qui, de surcroit, aurait lui-même téléphoné à l’hôtel pour demander que l’on recherche un portable égaré pour le lui amener à l’aéroport.

Bien malin qui peut savoir aujourd’hui où se situe la vérité. Mais en attendant, une chose est sûre : les deux parties doivent être respectées jusqu’à plus ample informé.