Commentaire de clairette
sur Ségolène, entre bravitude et approximatiance
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Si on ne peut plus inventer des mots ou faire des fautes de français, ou des lapsus (oraux ou écrits) je dois considérer que je suis éliminée d’office des joutes épistolaires d’AgoraVox, et je laisse volontiers la place à tous les grands linguistes qui y interviennent habituellement ! Je n’avais pas imaginé que le fait d’employer un mot marrant à la place d’un autre vous mettait au rang des parias ! Pas plus que je n’avais encore constaté qu’AgoraVox était le dernier rempart de la langue française !
Et puis, finalement, je l’avais déjà dit, mais je crois que là tout me renvoie au rang de cette malheureuse Ségolène, et que je me dois, par solidarité entre nunuches ou autres ignares : c’était pas prévu (pardon, ce n’était pas prévu) je crois que si ça continue je vais voter pour elle !