La pauvreté, je l’ai partagée bien avant. En Ecuador, à Cuba où elle est terrible, à Molenbeek. Je ne suis pas au Laos parce que c’est un pays pauvre, même si mes 1.126 euros par mois me suffisent largement et me permettent même en sus de donner.
Non, si je suis ici, c’est parce que j’y ai trouvé une vie simple, de la nature en vrac et des gens qui me sourient tout le temps et surtout aucune agressivité. Tu peux t’y promener à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit sans crainte aucune. Jamais personne ne m’y a dit : tu ne parles pas ma langue, barre-toi !
Cela me change et de Molenbeek et de la Flandre...