Commentaire de Furax
sur Il n'y a plus rien
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Tout à fait d’accord avec vous Oj.
Je reviens encore une fois en Afrique. Le paysan qui vit à quelques kilomètres de la capitale cultive son manioc, élève ses poules et ses cochons, va chercher l’eau à son puits et se livre à des échanges avec d’autres villageois. Si, dans la nuit, la capitale disparait dans un grand trou, il ne lui manquera rigoureusement rien.