Commentaire de Sandrine Lagorce
sur Une nuit sans matin
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Très beau texte.
Bien-sûr qu’il n’y aura plus de matin. Quand ce sera votre tour, vous le verrez débouler dans les parages, en trottinant, le regard fixé sur vous. Vous sourirez, il remuera la queue et la vie, ailleurs, différemment, continuera avec lui et les autres, certains autres.
Le terrible homme en blanc, qui a plus d’un tour dans son sac, vous aura fait son clin d’oeil.
Merci.