Commentaire de SATURNE
sur Une nuit sans matin
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« Misère...
Misère, c’était le nom de ma chienne, qui n’avait que trois pattes.
L’autre, le destin le lui avait mise de côté
Pour les olympiades de la bouffe et des culs semestriels
Qu’elle accrochait dans les buissons pour y aller de sa progéniture.
Elle est partie, misère.
Quelque part.
Dans la nuit des chiens ».
(Léo Ferré dans « y’a plus rien »)