Commentaire de mick_038
sur Une Ripoublique irréprochable


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mick_038 mick_038 9 août 2011 01:17

Et un petit passage sur le massacre de l’ordre du temple solaire
Chapitre quatre : Massacres de l’Ordre du Temple Solaire : le criminel secret d’Etat
« Je ne risque rien dans l’affaire du massacre de l’OTS ; c’est une affaire d’Etat… »
Charles PASQUA.
Je vous emmène si vous le voulez bien à la fin du mois d’octobre 2006, à la Cour d’appel de
GRENOBLE.Christian COTTEN s’est constitué partie civile à l’occasion du procès en appel
de Michel TABACHNICK dans le dossier du massacre des adeptes de l’Ordre du Temple
Solaire. Je l’ ai accompagné à ce procès, lequel dura plusieurs jours.
Il faut que vous sachiez que les soixante seize morts dans le double massacre, entre celui de la
Suisse et celui du Vercors, n’ont pas, à ce jour, été honorés de la manifestation de la vérité.
Celle-ci est interdite à leur mémoire, tout comme à leurs proches, par l’imposture judiciaire.
Flash-Back :
En 1995, la presse nous révéla un horrible fait-divers ; 16 cadavres à moitié carbonisés,
présentant des impacts de balles dans le corps et dans la tête, furent découverts dans un coin
perdu du Vercors. Ils étaient disposés en cercle, les pieds réunis en son centre, et des sacs en
plastic encore intacts masquaient leurs têtes, à travers une macabre mise en scène de rituel
sacrificiel.
Les victimes étaient des hommes, femmes, enfants, adeptes de ce que l’on désigna par la suite
de « secte de l’Ordre du Temple Solaire » ; la France entière fut secouée par l’horreur de ce
« suicide collectif »…
Un an plus tôt, le premier « suicide collectif » avait fait des dizaines de mort, en Suisse, et
défrayé la chronique.
Suicide collectif, donc…
Car, rappelez-vous ; la presse, au moment des faits, orienta de façon impérative l’opinion
publique vers cette thèse : Personne, moi pas plus que vous, ne suspecta la supercherie,
tellement l’émotion collective suscitée par le bruit fait autour de ces « suicides collectifs » et
autour de ces « sectes » si dangereuses, sut permettre que soit imposée cette version,
d’autorité. A cette époque, je devais avoir 27 ans ; je sortais d’une unité spéciale de l’armée
où j’étais rentré après avoir démissionné de la gendarmerie, et commençais ma « carrière » de
chef d’entreprise dans la protection. Mon « éducation » militaire me permettait de me
satisfaire pleinement de ce que je gobais stupidement par voie de presse, au sujet de ce fait
divers, et j’étais totalement révolté par celui-ci, et par l’existence de « sectes si nocives »…
Pourtant, j’étais loin de me douter que j’étais victime d’une manipulation médiatique
commanditée par « le Pouvoir », et rendue possible si facilement par le lavage de cerveau que
je subissais comme tout un chacun, à mon insu, depuis mon plus jeune âge.
Mais Internet a son intérêt - bien que constituant à mes yeux un piège insidieux. En
l’occurrence, des scandales enfouis remontent à la surface et échappent relativement au
contrôle de la censure ( Du moins celle qui sévit au niveau juste supérieur de celui dans lequel
nous évoluons, dans la grande pyramide sociétale criminelle, le dernier étage du sommet
ayant d’après moi intérêt à ce que des troubles sociaux, voire de civilisation, naissent de ses
« révélations interdites » permises par cet outil suspect qu’est l’Internet…).
Une grande partie de la vérité devient accessible, avec son prix à payer, et les préjugés
peuvent enfin être remis en question, et même brisés.
Donc moi, l’ancien gendarme et para « pur et dur », formaté pour porter - par exemple - un
jugement sans appel sur ce qui est désigné de sectes par l’ « autorité », je passais pour
l’occasion dans le camp d’un certain Christian COTTEN, qui s’était constitué partie civile
dans ce dossier parce qu’ayant fait parti du lot des « minorités spirituelles » qui avaient été
clouées au piloris et fichées comme « secte ». Le psychothérapeute psychosociologue, adepte des médecines douces – surtout de celles qui se fume… - avait été pris dans la tourmente d’une vaste chasse aux sorcières organisée par l’Etat suite à ce fait divers…
Du moins, c’est sa version des faits, et quelque soit sa réelle bonne fois, ça ne change rien à la
réalité de cette énième manipulation médiatico-judiciaire pour interdire la manifestation de la
vérité sur un épouvantable crime.
Ça ne change rien non plus au fait qu’effectivement, les minorités intellectuelles et spirituelles
sont prises pour cible depuis l’affaire de l’Ordre du Temple Solaire, à travers une inquisition
implacable. Celle-ci est appliquée par le terrorisme d’Etat pour le compte des lobbies
criminels de l’industrie médicale et pharmaceutique, des lobbies du nucléaire ou de l’industrie
alimentaire.
Pourquoi ? Le but de l’opération consiste à « criminaliser » et neutraliser ainsi leurs
détracteurs.
Dans le même ordre d’idée, sont traquées toutes minorités qui dénonceraient et/ou
démontreraient l’imposture en matière d’énergie, de santé publique et d’alimentation ;
démonstration qui risquerait de s’imposer de façon pacifique et crédible, à travers un style de
vie alternatif, en autarcie affranchie de tout ce qui nous est imposé par lesdits lobbies.
Quelle ironie quand on sait que les acteurs de l’imposture institutionnelle qui prétendent
traquer les sectes, pour le compte de leurs donneurs d’ordre de l’industrie et de la haute
finance, baignent eux-même avec ceux-ci, majoritairement, dans diverses sectes et sociétés
secrètes.
Au moment où j’écris ces lignes, ce jeudi 19 novembre 2009, je ne peux résister à l’envie de
vous citer à titre d’exemple, l’usage fait de la propagande anti secte pour criminaliser les
personnes dénonçant le complot de la grippe A et de ses vaccins-tueurs.
Même des médecins regroupés au sein de leur Union Régionale de Médecins Libéraux, et
parlant en son nom pour s’opposer eux aussi aux criminelles dispositions gouvernementales,
sont traités de sectes !
Mais, le prix de la Vérité, de quoi qu’elle puisse traiter, vous le connaissez sans doute :
- Ou l’on s’enfouit à nouveau la tête dans le trou en essayant de se convaincre que l’on
n’a rien vu, ou que cela ne nous concerne pas plus que ça, et/ou que de toutes façons
on est trop petit pour changer quoi que se soit… …en mettant à mort lentement notre
conscience et notre intégrité…
- Ou l’on garde dignement la tête hors du trou, avec les yeux bien ouverts, pour devenir
un parias réactionnaire, isolé par le mensonge et le terrorisme d’Etat comme les
millions de victimes de violences judiciaires peuvent l’être, malgré leur
incommensurable nombre…
En fait, ce qu’il faut savoir de l’affaire de l’Ordre du Temple Solaire, pour commencer, c’est
que le secret de l’instruction à cette époque avait été tout simplement violé ; et si cela
semblait faire parfaitement l’affaire des appareils politique et judiciaire, c’était bien parce que
ceux-ci étaient à l’origine de la manipulation médiatique.
Le juge d’instruction, Luc FONTAINE, et le directeur d’enquête, le commandant de Police
OUVNAGUEL, saisis du dossier à l’époque, firent montre d’un total hermétisme à toute thèse
contradictoire à celle du suicide collectif, thèse imposée d’autorité, avec force propagande
médiatique.
La recherche de la manifestation de la vérité, principe fondamental de la Justice, était
immédiatement mise hors jeu par l’appareil judiciaire lui-même, une fois de plus.
Une personne fut désignée comme coupable à la vox populi, car il faut en effet un bouc
émissaire qui saura tout prendre sur son dos, afin de permettre aux imposteurs en robes noires – et robes noires et pourpres…- de jouer leur tour d’illusionnistes : Michel TABACHNICK fut celui-ci.
Personnage singulier au demeurant : Chef d’orchestre, il faisait parti de la « secte » au
moment des faits, bien que ça ne soit pas clairement établi, car rien n’était clair, ni dans
l’enquête, ni au cours du procès, pas plus que dans cette sombre histoire.
L’homme, coupable désigné d’office, avait perdu sa femme et un enfant dans ledit massacre.
Seulement voilà ; il aurait, en raison d’écrits ésotériques de son fruit, eut une influence sur les
adeptes de l’Ordre du Temple Solaire. Pire ! Cette prétendue influence suicidaire serait à
l’origine du drame.
La « présomption de culpabilité » était inébranlable, tout comme les certitudes affichées par la Cour, contre tout principe de justice…


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