Les responsables culturels autrichiens, s’ils sont logiques avec eux mêmes, doivent appliquer cette « stratégie culturelle » à la musique.

Après tout, Mozart était natif d’Autriche, si je ne m’abuse ?

Instaurer des intermèdes musicaux faits par des « musiciens » de rap ou techno entre l’exécution de deux mouvements d’une symphonie de Mozart ou de la messe en si au festival de Salzburg me paraîtraient correspondre tout à fait au sens du « progrès culturel » qui est exprimé dans ce musée !!!

Les portugaises ensablées des bobos autrichiens risquent de frétiller d’impatience à cette si alléchante perspective sonore !!!