salut compatriote ordinaire,

en réalité les arabes ,entendez les arabo musulmans, puisque les judéo arabes et les quelques malheureux harkis semblent etre finalement integrés à la société majoritaire ,c’est dire la persistance coloniale des clivages, ont une seul choix à faire

solution.

pour les Noirs : il en existe pas.ils doivent patienter en esperant qu’un jour l’afrique se releve(on nous dit que c’est probable dans un futur proche), sinon ils auront droit,comme dans les sociétés anglosaxonnes ,aux avantages de la discrimination positive.le monde sportif le fait avec succes...enfin pour quelques uns au detriment de tous les autres.

pour les Arabes(musulmans)

le parcours rapide de quelques sujets sur le site demontre que pour une conscience occidentale le probleme de l’arabe c’est sa religion. au fond ,un arabe est un arabe tant qu’il demeure musulman, une fois ce verrou sauté il peut rejoindre la grande famille française ,et pas avant.les juifs magrhebins en sont la preuve la plus éclatante.

la vraie question pour les arabes d’europe que dissimule tous les debats sur l’islam ou les quartiers la voici :

seront ils capables de donner à leurs enfants des prenoms bien français ?

le dilemme est insurmontable pour les arabes,pour cette génération.

un arabe cesse d’etre un arabe,aux yeux des occidentaux, dès lors qu’il abandonne la culture de l’islam.c’est aussi simpe que cela.

un noir a beau abandonner la culture africaine,ce qu’ils font tous par l’adoption de prénoms français et de la religion chretienne ou autres, qu’il n’en demeure pas moins ,au yeux de la société majoritaire ,un noir.

il est donc stupide de regrouper les noirs les arabes avec les laids et les handicapés pour expliquer la discrimination puisque j’imagine que parmi les noirs et les arabes des laids et des infirmes il en existe aussi

l’exclusion des noirs et des arabes par la société majoritaire releve d’une autre logique.

pour les asiatiques ,ils semblent n’etre demandeur de rien du tout,et ils ont raison car ils n’auront de toute façon rien obtenu.