Commentaire de Fergus
sur Paroliers de toujours (no 3)
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Salut, Paul.
D’excellents auteurs parmi ces noms, et notamment quelques inconnus auxquels il est juste de rendre hommage.
En ce qui concerne Delanoë, il y aurait beaucoup à dire. Certes, il a écrit de très beaux textes, mais aussi commis des multitudes de chansons d’une affligeante platitude. Personnellement, je n’apprécie pas ce genre de personne. Obnubilé par le fric, il a choisi la quantité (et quelle quantité !) là où d’autres préféraient ne pas publier ce qui était indigne de l’objectif exigeant qu’ils s’étaient fixés. En définitive, Delanoë a quelque chose du Picasso des milliers de terres cuites que l’on vouidrait nous faire prendre pour des oeuvres d’art alors que, réalisées en quelques coups de pinceau désinvoltes, elles n’avaient qu’un objectif purement commercial.
Cordialement.