Commentaire de Hijack
sur 9/11 : Credo quia absurdum


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Hijack Hijack 10 septembre 2011 18:50

Qu’est-ce que c’est que cet article ... que je n’ai pu lire en entier ... en effet, dès que j’entends le mot « complotiste » ... je ne peux prendre au sérieux celui qui le dit !!!

Mais à tout hasard ...

Conspiration, complot

Sauf si être conspirationniste/complotiste est de tout accepter ... du moment que cela vient d’une puissance ... mentalité très collaborationniste je dirai  !

Wikipedia  : « Une conspiration est une entente secrète entre plusieurs personnes, en vue de renverser un pouvoir établi, ou une organisation en vue d’attenter à la vie d’une personne d’autorité. Le terme « conspiration » et ses quasi-synonymes, notamment « complot » et « conjuration », ont fait l’objet de distinctions sémantiques par plusieurs spécialistes de la langue. »

conclusion d’après la définition Wiki : Il n’y a aucune entente entre ceux qui se posent des questions !!! ... mais si nos idées se rencontrent ... posez-vous aussi des questions !

Le fait de se poser des questions, le fait de réfléchir, le fait de sortir des sentiers battus/balisés ... n’est en rien une conspiration !
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DANS LE CAS PRÉSENT ... C’EST QUOI DE TRAITER L’AUTRE DE CONSPI ... ???

- Tenter de pallier à un manque certain de l’accusateur ...

 - Donner l’illusion d’accuser autrui de ce que l’on ne sait pas …

 - Tenter de déstabiliser l’argumentaire sensé ... sans argument …

 - Accuser négativement d’emblée et sans argument ... celui qui se pose des questions ou dérange.

Mais aussi :

CONSPIRATION =

Le terme conspirationniste est issu de la nov-langue. Il est suffisamment ambigu pour faire passer pour de vilains comploteurs, auprès des benêts béats, les gens qui cherchent réellement à savoir ce qui se passe dans notre monde.

Inversion syntaxique pour dissuader les esprits libres de creuser la question.

C’est un terme que l’on veut insultant, pour tenter de déstabiliser l’autre ... il a été créé pour cela.

Il y a quatre sortes de catégories : (et bien sûr d’autres sous catégories)

1/ Ceux qui font les sales coups,quitte à tuer même des leurs... les USA (leurs gouvernements et pas le peuple), l’histoire ne manque pas d’exemples.

2/ Ceux qui les subissent : les victimes directes mortes sur place ...et indirectes (ceux visés en premier lieu et ...qui en paient le prix de manière longue et récurrente, les arabo/musulmans pour ce coup ci).

3/ les intuitifs ... qui réfutent au nom de la liberté d’expression, ceux qui réfléchissent, ceux qui travaillent et font des recherches. Dans la grande majorité des truthers, ont trouve soit un de ces points, soit tous les points à la fois.

4/ les béotiens, les béats, les angéliques qui gobent tout et n’importe quoi... pour le côté sympa, mais il y a les cas de mauvaise foi, ceux pour qui ... tout est bon pour prouver que les arabo/musulmans sont le mal et les autres le bien, il y a enfin, les peureux (de prerdre leur job, leurs avantages, se faire engueuler, se faire remarquer, être désigné du mauvais côté etc ...) et les incompétents ...Ceux qui ont peur de l’autre, ceux qui ont peur que celui qu’ils prenaient pour leur « maitre » soit à ce point défaillant (hé wé ... ça arrive) ... peur d’avoir à accepter la réalité ...

De tous temps. L’histoire du monde est jalonnée de gros mensonges d’État dans toutes les civilisations. C’est ainsi que le pouvoir survit.

Enfin ...le plus grand tort n’incombe pas à ceux qui réalisent ces coups tordus ... mais contre ceux qui les laissent faire, ne se posent aucune question, trouvent plus aisé de croire ce qu’on leur dit... sans eux, rien ne fut possible ... et ils les remercient en se foutant de leurs gueules !

Les réalisateurs de la version artificielle, -dégoulinante de mensonges, d’erreurs flagrantes, de foutaises etc, que même une école d’enfants attardés ne croirait pas- ... se sont pour la plupart désistés, disant qu’on les avait trompés, qu’on leur avait fourni de faux doc, de fausses infos (de mémoire) ... mais malgré ça, il y en a qui font du zèle ... !!! et perpétuent donc la supercherie ... A ces derniers, je leur souhaite une chose ... qu’ils soient conscients (pour X raisons que je ne m’explique pas) qu’ils sont de mauvaise foi, obligés de dire n’importe quoi pour se justifier face à eux mêmes ... mais volontairement ... et si par hasard, c’était naturel, à l’insu de leur plein gré ... smiley bein ... on les plaint !

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Conspiration

Wikipedia ...même s’il y a mieux ...

Une conspiration est une entente secrète entre plusieurs personnes, en vue de renverser un pouvoir établi, ou une organisation en vue d’attenter à la vie d’une personne d’autorité. Le terme « conspiration » et ses quasi-synonymes, notamment « complot » et « conjuration », ont fait l’objet de distinctions sémantiques par plusieurs spécialistes de la langue.

Les objectifs d’une conspiration sont variés, ainsi que ses moyens. Le faux témoignage et la rumeur1, l’enlèvement2, l’attentat3, l’assassinat4, et le coup d’État5 sont parmi les méthodes les plus visibles et les plus utilisées des conspirations connues. Si un coup d’État nécessite généralement le secret des putschistes, tous les assassinats et tous les attentats ne s’inscrivent pas dans le cadre d’une telle union secrète, et certains peuvent même être individuels.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Conspi...

Même si on dit la même chose ... que la version miraculeuse n’est pas valable ... Nous n’avons aucune entente secrète entre nous !!!

Et ...

conspirateur, conspiratrice :
 - Personne qui conspire ; comploteur, conjuré. smiley

conspirer :
 - S’entendre à plusieurs pour renverser un régime, une personnalité ; comploter : Conspirer contre l’État.
 - S’entendre pour faire quelque chose : Tout le monde a conspiré pour lui faire une surprise.
 - Contribuer à un résultat, en parlant de quelque chose : Tout conspire à faire échouer ce projet.

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Comme vous le voyez tous ... on ne s’entend pas entre nous, on ne veut renverser personne ...(mais sûrement faire juger les criminels et les responsables des manipulations des masses), on ne veut faire échouer aucun projet ... sauf les projets de guerres inutiles et meurtrières que nous n’avons pu arrêter !

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La théorie de la « théorie du complot »
13 mai, 2011 by GeantVert

L’invraisemblance des versions officielles américaines successives de la mort de Ben Laden semble proportionnelle à l’énergie déployée actuellement par les grands médias pour discréditer à priori toute remise en cause et tout esprit critique sur la réalité des faits eux-mêmes. Il faut absolument placarder ces sceptiques, et quoi de mieux que ce vocabulaire péjoratif et définitif, à base de « complotistes », « conspirationnistes », « théoriciens du complot » qui a pour effet de stopper tout débat, d’arrêter toute réflexion, et surtout d’alimenter la propagande de la peur et de cette « Guerre au terrorisme » née il y a près de 10 ans maintenant ? Voici un billet d’Emrah KAYNAK paru sur Le Grand Soir qui résume bien cette situation.

 
La théorie de la « théorie du complot »

par Emrah KAYNAK, sur Le grand Soir, le 13 mai 2011

Une grande part des débats relatifs à l’annonce de la mort de Ben Laden est consacrée à disqualifier la réflexion critique en l’assimilant à des délires paranoïaques. Celui qui fait état de suspicion envers les diverses versions officielles est aussitôt affublé du terme peu élogieux de conspirationniste. Les médias institutionnels se rangent de façon acritique du côté du pouvoir et tentent avec acharnement de rendre cohérent l’incohérent.

Une grande part des débats relatifs à l’annonce de la mort de Ben Laden est consacrée à disqualifier la réflexion critique en l’assimilant à des délires paranoïaques. Celui qui fait état de suspicion envers les diverses versions officielles est aussitôt affublé du terme peu élogieux de conspirationniste. Les médias institutionnels se rangent de façon acritique du côté du pouvoir et tentent avec acharnement de rendre cohérent l’incohérent.

Le concept « théorie du complot » est utilisé de façon abusive et systématique pour discréditer la moindre interrogation rationnelle. Les contours indéfinis de cette notion-cadre permettent d’englober sans distinction toute une série de réflexions. Le procédé est simple. Il s’agit de mettre sur un pied d’égalité diverses théories dont les plus faibles remettent en question les doutes légitimes. Les questions pertinentes se voient étouffées sous un fatras d’hypothèses immotivées.

La défiance envers les discours officiels n’est que la résultante logique de diverses tentatives de machination confirmées. Le pouvoir étasunien est accoutumé à l’intoxication comme le démontre le cas emblématique de l’assassinat de Kennedy. En dépit de ses nombreuses aberrations, la thèse bancale du tireur isolé n’a toujours pas été révisée.

On se souvient encore mieux de la propagande grossière qui a mené à la guerre et l’occupation de l’Irak. Des dirigeants politiques de haut rang, des experts et des journalistes soi-disant réfléchis nous rabâchaient sans cesse avec les « armes de destruction massive » qu’ils ne trouveront jamais.

On nous a présenté ensuite des plans détaillés de centres de commandements hypersophistiqués d’Al-Qaida dans les grottes de Tora Bora qui se sont révélées parfaitement imaginaires. On n’a pas oublié non plus l’opération de sauvetage en Irak de Jessica Lynch totalement mise en scène sans parler de l’affaire des couveuses au Koweït destinée à émouvoir le peuple étasunien et justifier leur entrée en guerre.

Ce sont ces mêmes journalistes et experts, candides ou complices, qui raillent aujourd’hui les observateurs qui font preuve de prudence méthodologique envers des sources confondues à de nombreuses reprises pour manipulations caractérisées.

Récuser a priori l’existence d’interventions concertées et clandestines à visée géostratégique revient à nier l’existence même de services secrets. Une agence de renseignement n’est pas une agence de presse et la CIA ne peut donc être traitée comme une source impartiale. Faute de preuves tangibles des circonstances de la mort de Ben Laden, nous sommes priés de nous en remettre à la bonne foi du directeur de la CIA ou du président des Etats-Unis. Or vérité, politique et guerre n’ont jamais fait bon ménage.

Que sait-on à propos d’Oussama Ben Laden si ce n’est ce que les autorités étasuniennes nous en disent ? Il est admis par tous qu’Al-Qaida est une filiale de combattants arabes formés par les services secrets étasuniens, pakistanais et saoudiens pour lutter contre l’influence communiste et panarabiste.

Cette mouvance occulte n’a jamais autant servi les intérêts des Etats-Unis qu’aujourd’hui. Qui parle à perte de vue d’Al-Qaida ? La labellisation Al-Qaida suffit à disqualifier ipso facto des mouvements insurrectionnels populaires dans des pays occupés. Ces incantations martelées et répétées acquièrent valeur de démonstration.

Aussitôt la mort de Ben Laden annoncée, on nous prévient déjà que la lutte contre le terrorisme n’a pas pris fin et qu’il faut se méfier encore davantage de la vindicte islamiste. Al-Qaida aurait promis de venger la mort de son fondateur. Cet ennemi est si commode qu’il procure l’argument nécessaire au maintien de troupes étrangères en Afghanistan.

La peur est un appui de première main pour les propagandistes. Un public qui a peur est enclin à se soumettre à l’autorité et à exalter son identité nationale. Il suffit de dire que les islamistes haïssent le monde occidental et qu’ils veulent le détruire pour s’assurer le soutien inconditionnel à la politique impérialiste des Etats-Unis.

Les théoriciens du complot ne seraient-ils pas ceux qui soutiennent la thèse d’un complot international djihadiste, ceux qui voient des conspirateurs à la moindre expression d’une critique, ceux qui propagent une vision schématique du monde divisé entre le bien et le mal, la liberté et l’obscurantisme pour justifier leurs interventions militaires ?


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