Commentaire de Arnes
sur La fin de l'Histoire... de France ?
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Passionné par l’histoire, il faut reconnaître que l’histoire scolaire est à l’histoire ce que la musique militaire est à la musique.
Les programmes scolaires sont et ont toujours étés des instruments du politique suivis servilement par les profs d’histoire : haine du boche avant la boucherie de 14/18, glorification de napoléon, le destructeur de l’Europe, éloge de louis 14 mégalomane pornocrate.
Quelques suggestions :
- supprimer les notes sur les devoirs d’histoire
- Programme d’une année scolaire : une ligne définissant la période à travailler : libre ensuite à l’enseignant de l’organiser en fonction de l’auditoire et de ses compétences.
- Droit de retrait si un seul élève ne sait pas lire ou ne comprend pas ce qu’il lit : le prof doit arrêter son cours et se consacrer à remettre à niveau l’élève.