Commentaire de Ceri
sur Pédophilie : l'ambiance est à la tolérance
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Il y a de gros débats à ce sujet, mais les études les plus sérieuses, je les ai mentionnées :
des études ont été réalisées aux Etats Unis et au Canada notamment,
pour évaluer l’ampleur des mensonges des enfants dans les cas de
divorce, ou quand ils dénoncent des abus. Au final, les mensonges restent très marginaux.
En France, on n’étudie pas cela, ce qui n’empêche pas la croyance
populaire d’estimer qu’environ la moitié des enfants mentent dans ces
cas-là. On parle de 1 à 9% de faux signalements
(mais 9% est un chiffre extrême) dans le cas d’enfants victimes
violences sexuelles avec des parents séparés. Une étude Française
portant sur 10.000 dossiers a compté deux fausses allégations pour 1.000 cas, soit 0,2%, alors que « En
revanche, la pression qu’un parent exerce sur un enfant pour qu’il ne
révèle pas l’existence d’authentiques agressions sexuelles reste
fréquente ». Certaines études mentionnent aussi que les pères ont
largement plus tendance à mentir que les mères (21,3% de fausses
allégations des pères contre 1,3% chez les mères). Apparemment, le
chiffre avancé de 50% de fausses allégations a été véhiculé par les associations de pères aux Etats Unis dans les années 80.