Commentaire de Donald Forestier
sur J'accuse : les sauveteurs du 11/09/2001


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Donald Forestier 17 octobre 2011 14:51

Hé hé… Tout vient à point à qui sait attendre, finalement ! Il suffisait de laisser passer quelques mois pour que mon feutré mais irrésistible travail de sape de l’automne dernier porte ses fruits…. Je les tiens, à présent, mes plus de 50% d’opinions favorables ! C’est le « grand bond en avant », pour reprendre une expression du Grand Timonier, et j’éprouve une satisfaction sans mélange d’avoir tenu le pari que j’avais fait publiquement l’année dernière dès les premiers chapitres de mon accusation de la pandémie conspirationniste. Le mouvement truther après ce pitoyable dixième anniversaire est clairement en train de s’essouffler, comme le montre avec éclat le retournement d’opinion à mon endroit. J’en connais qui doivent moins faire les malins.
Ce revirement est d’autant plus remarquable que pour cette nouvelle série de chapitres non publiés je n’ai pas résisté à la tentation de me lâcher un peu, de dire vraiment le fonds de ma pensée, au risque de heurter jusqu’à mes alliés les plus acquis…. Personne en effet dans les milieux debunkers n’avait jamais taillé un tel costard aux sauveteurs de Ground Zero, lesquels pourtant le méritent cent fois. Avec les autres sacs poubelles dans la benne, les pompiers mythomanes, voyous, d’Al Qaida, etc ! Pas d’hésitation, et haut les cœurs !
Je suis obligé de tenir compte de ce retournement éclatant de l’opinion avoxienne en ma faveur... Pour la deuxième partie de ce chapitre 5 je comptais mettre plein de bémols, comme à chaque fois, mais là, là, pour le coup, je me dis que je peux y aller à l’économie, et sans prendre la moindre pincette. Le prochain article qui mettra en accusation des familles de victimes du 11 septembre sera donc le plus radical de la série. Je tiens à rassurer en particulier les debunkers les plus débridés (ceux qui hésitent le moins à insulter les truthers et à faire des amalgames infondés mais légitimes) qui auraient pu être choqués par la retenue dont j’ai pu faire montre envers Sibel Edmonds et Richard gage, par exemple, dans le chapitre 4. Ils vont vraiment constater sur ce coup-là jusqu’où je suis capable d’aller, et j’espère qu’ils auront l’honnêteté de saluer mon courage.
@ Gonzague : C’est un plaisir de vous revoir fidèle au poste sur la muraille. Vous vous êtes apparemment remis de la sévère calotte que je vous avais infligée l’année dernière dans un mouvement d’humeur. Ne souhaitant pas polémiquer avec un mort-vivant, je me contenterai de rappeler à tous ceux qui parcourront ce fil que votre dépouille gît à la fin du fil de commentaires du dernier chapitre de mon étude (googlez J’accuse+conclusion, et allez tout en bas !)


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