Commentaire de Catherine Segurane
sur 17 octobre 1961 : quand la propagande fabrique un « crime d'Etat »
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@ Katia Cheboul
Ce que je retiens de vos messages, c’est qu’il existe des personnes pleines d’une haine anti-française maladive auxquelles nous ne devons ouvrir notre porte sous aucun prétexte.