Commentaire de olivier cabanel
sur On nous doit plus que la lumière
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cher oncle,
merci d’avoir rappelé l’existence et la pertinence de Reiser, dont les chroniques dans Charlie, et ailleurs, étaient largement visionnaires, même si à l’occasion, il a dépensé beaucoup d’argent pour prouver qu’elles n’étaient pas irréalistes.
