Commentaire de guylain chevrier
sur Philippe Poutou, candidat du NPA, pour une immigration sans compter : le gauchisme au secours du patronat européen et du capitalisme !


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guylain chevrier guylain chevrier 5 novembre 2011 18:41

Réponse à la malhonnêteté intellectuelle d’un certain LeManu qui dit :

« Extrait de l’article... »... leur (les travailleurs immigrés) donner aussi le droit de vote parce qu’ils paieraient des impôts (...Quoi que les sans-papiers qui ne sont en général pas déclarés ne puissent en payer, une des moindres contradictions de ce discours simpliste)"

La connerie de l’auteur est ici avérée. Quand on croit qu’il suffit de ne pas être « déclaré » pour ne pas payer d’impôts. On rentre, on fait pipi, sa prière, et hop ! au lit.« 

Un extrait évidemment tronqué de mon article en référence pour justifier une remarque inspirée uniquement par un parti pris ainsi facilement repérable. Voilà l’extrait sans sa coupe, mis en gras : »leur (les sans-papiers) donner aussi le droit de vote parce qu’ils paieraient des impôts (Entendu en lien avec la création de richesses - Quoi que les sans-papiers qui ne sont en général pas déclarés ne puissent en payer, une des moindres contradictions de ce discours simpliste)…« Et oui, j’avais précisé  »Entendu en lien avec la création de richesses« , parce que l’argument toujours avancé, c’est que les sans-papiers travaillent et qu’il faudrait dont les régulariser parce que cela démontrerait leur utilité économique et par voie de conséquence aussi leur donner le droit de vote en rapport avec des impôts sur le revenu qui ont cette signification de citoyenneté de droit pour ceux qui défendent cette cause. Evidemment, des impôts il en existent de toutes sortes dont des impôts indirects en nombre, mais bien sûr, et clairement, il ne s’agissait pas ici de cela.

Alors mon cher Le Manu, il faut arrêter tout de suite cette manipulation qui ne vise encore une fois qu’à éviter le débat de fond sur le contenu pour manier l’insulte en désignant ainsi »la connerie de l’auteur", c’est-à-dire moi, une méthode dont on retiendra le ridicule consubstantielle du gauchisme primaire

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