Commentaire de Feuilly
sur Après la Libye, la Syrie...
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Tant qu’il y aura suffisamment d’argent dans le porte-monnaie des travailleurs pour qu’on puisse financer les exclus du système (chômeurs, etc.) et leur assurer un minimum vital, rien ne bougera. Par contre le jour où exclus et travailleurs vont commencer à avoir faim, alors, oui, on aura une révolution. Mais l’expérience prouve que les révolutions ne profitent jamais à ceux qui les font. On n’en sort pas.