Commentaire de Valerianne
sur L'addiction au sexe


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Valerianne Valerianne 13 décembre 2011 16:10

Mais ce n’est pas le fait de « baiser tous azimuth » qui est une tare ! C’est juste, que dans ce film, ça apparaît bien plus comme une souffrance que comme un plaisir... smiley

Heureusement, la soeur vient « réveiller » son frère, d’une certaine manière ! Et même si la toute dernière scène, où le personnage a un regard triste (mais humain !) face à la jeune femme qu’il avait draguée, tout au début déjà dans le métro... on se dit que quelque chose s’est passée, de positif, une sorte de « lâcher prise » et de conscientisation qui va lui permettre, peut-être alors, de relier « désir » et « acte ».

Bien plus qu’un film sur l’addiction au sexe (dont, personnellement, je me contrefous...), c’est un film très intéressant sur un drame familial (le personnage de la soeur étant tout aussi essentiel que celui du frère). Et sur les conséquences que cela peut avoir : ici, l’addiction au sexe (ou l’hystérisation des relations sur un mode dépendant-affectif pour la soeur). Ailleurs, ça aurait pu être une toute autre addiction (toxicomanie, boulimie...).

 

Sinon, je ne vois pas l’intérêt de votre remarque insistante sur le « cream pie » (écrite aussi sur la critique que j’avais faite du film). Quelle importance que d’insister sur cette pratique ? On s’en fout, de même qu’on se fout de la scène du back-room... Ce qui intéresse, c’est juste ce que cela dit du personnage.


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