Commentaire de Pierre-Marie Baty
sur La France éparpillée
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Mais enfin, s’il avait envie de finir sa vie comme cela, au nom de quoi serait-ce condamnable ?
Je ne pense pas qu’il était dépressif ou malheureux, auquel cas son suicide pourrait être interprété — et là je vous rejoins — comme un constat d’échec.
Mais rien dans l’article ne suggère que ç’ait été le cas. Le bonhomme avait quand même pas loin de 90 ans ! Finir sa vie ainsi en interpellant les vivants au nom d’une cause altruiste, je trouve que ça a quand même plus d’allure que de finir dans un mouroir drogué par les médicaments !