Commentaire de Philippe
sur Le bon grain et l'ivraie
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Je ne les mets pas sur le même plan.Il n’empêche que dans le dérisoire qui vous est propre comme dans le grave qui est universel on peut sentir ou non une aptitude forte à la liberté d’expression.Lorsque, pour son intérêt, on étouffe l’écrit et la parole d’autrui, on est enclin à l’indulgence pour les lois qui briment l’inventivité et contraignent à une vérité officielle. Le droit à l’absurde, c’est le signe d’une société libre, non ?