Commentaire de Jorge Atlan
sur Affaire Renault : lettre ouverte d'Annie Lacroix-Riz à Arlette Chabot, Nicolas Poincaré et Franck Ferrand


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Jorge Atlan 26 décembre 2011 15:39

Je m’étonne du peu de considération pour une universitaire honorée par ses travaux et son sérieux.
Avez vous pour seuls arguments les opinions politiques de Mme Lacroix-Riz. Vous voulez des chiffres, pour quoi ne pas allez les chercher, ou lire les bouquins de l’auteur ?
Mais je crains que vous n’ayez aucune idée du temps passé a trier, compulser, recouper des archives.
Connaissez vous un seul historien qui remette en cause de manière crédible les travaux ou les documents que 
Mme Lacroix-Riz présente ?
Il est vrai que nul n’est pas prophète en son pays et qu’il a fallut les ouvrages d’historien anglo-saxon pour mettre fin fin au mythe du « bouclier et du glaive ».
IL n’appartient pas aux tribunaux de dire l’histoire comme il n’appartient pas aux députés de voter des lois scélérates ( fondées ou non) sur le devoir de mémoire.
Curieusement depuis quelques années les collaborateurs se sentent suffisamment fort pour tenter de récrire l’histoire a leur avantage..

Je vous renvoi a un nom celui de Georges albertini et a ce que furent ces « œuvres » après guerre. Cela vous donnera une idée de la continuité des agissements de ces collaborateurs économiques après la fin du nazisme. A la rigueur si la lecture des ouvrages de Mme 
Lacroix-Riz vous font peur, allez faire un tour sur france Inter dans les émissions de Rendez vous avec monsieur X, cela vous donnera une petite idée de l’iceberg.
Peut on croire que les actions des Dingli soient si désintéressé et que derrière la réhabilitation d’un nom, il ne s’agisse de mettre la main sur de grosse, très grosses indemnités .
Après une Bétencour, un Tapis, il ne manque qu’un Renault. Nous n’en sommes plus a quelques dizaines de millions d’Euros, puis que nous sommes des dépensiers honteux qui vivont au-dessus de nos moyens.


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