Commentaire de Claude Simon
sur Standard & Poor's : La vérité est ailleurs
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Je veux surtout mettre en avant qu’il existe des solutions politiques afin de réduire ce qu’on appelle poliment le service de la dette, à savoir les intérêts, qui est aujourd’hui le premier poste budgétaire, soit 50 milliards d’euros.
N’attendons pas d’être à la place de l’Italie qui la paye 7% à 10 ans ou la Grèce, soit 30%.