Commentaire de Richard Schneider
sur Aidons Sarkozy pour sa nouvelle carrière


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Richard Schneider Richard Schneider 25 janvier 2012 19:33

Bonsoir devphil 30 :

Je crois que nous faisons tous l’erreur de croire que Sarkozy va partir comme ça, dégouté de tout : c’est du pipeau ! C’est :« ah ! si vous ne m’aimez pas, je vous quitte, débrouillez-vous - et surtout ne venez pas vous plaindre après, parce que moi je ne reviendrai plus ! na ! ».
Moi, je me méfie comme de la peste du OFF ! Vous croyez que notre Guide Suprême va susurrer dans le creux de l’oreille des journalistes des confidences réelles en leur demandant le secret le plus absolu ! 
Ce que notre héros blessé cherche à faire passer auprès des électeurs, c’est se faire passer pour le pauvre homme, épuisé par le travail pour sauver ce pays, écœuré par l’ingratitude de ceux qu’il veut sauver de la misère. (Dimanche, il va nous bassiner avec le spectre de la Grèce ou de l’Espagne - on parie ?) 
Au lieu de parler pendant trois heures à la cohorte des journalistes grisés, il aurait du leur chanter : "Je suis le mal aimé ...
Si les apparences
Sont quelquefois contre moi
Je ne suis pas ce que l’on croit 
Tout ça, c’est de la com. L’arrogance, la suffisance, ça ne marche pas. Eh bien, il va essayer d’inspirer de la compassion : n’est-il pas victime de la méchanceté, de la calomnie des medias et de l’establishment ? de l’arrogance de Hollande ( qui m’a traité de « mec ») ? de la malchance d’avoir eu à affronter une crise pire que celle de 29 ?
Bref, Sarkozy, le malheureux, est une victime du système qu’il a voulu combattre !

Bonne fin de soirée,
RS


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