Commentaire de momo
sur « La guerre des poils »
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baiser un cyborg...
C’est justement l’impression qui est la mienne lorsque je baise avec une fille épilée.
Pour le reste, tout est une question de point de vue ; mais puisque vous parlez écologie, n’est -il pas plus facile de laisser tomber le rasoir (personnellement, je me rase la barbe, mais je rappelle que nous parlons de pilosités sexuelles : pubis chez H & F + aisselles (reliées aux seins) chez la F), que d’obtenir, car c’est bien plus difficile, une bonne bouffe.
Pour les odeurs et la question raciale que vous soulevez, on trouve à la fois le « qui se ressemble s’assemble » comme le « les extrêmes s’attirent ».
ça va de ceux que l’odeur des black ou des beurs attirent à ceux que ça repoussent. Mais pourquoi voulir masquer cela ? Ne croyez-vous pas qu’il n’y a pas assez de tromperies sur ces questions, en politique notamment, allant même jusqu’a l’interdiction par la loi de les poser ?
La sexualité est encore un domaine de la vie privée encore vierge de tous ces mensonges et hypocrisies. A peine débarassé des conneries religieuse qui parasitait cela grace à mai 68, le danger réapparait sous une nouvelle forme insidieuse : l’épilation et surtout ce qui se cache derrère. Vous voulez une explication à notre combat : la voilà.