Commentaire de doctorix
sur Questions aux économistes d'Agoravox
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Et voilà le réac de service.
Il y a très peu de bon dans le capitalisme, et beaucoup de mauvais, nous en savons maintenant quelque chose.
Si on se contentait de prendre ce qu’il y a de bon dans le communisme, et il y en a beaucoup, en rejetant le mauvais (le mauvais, c’est quand il copie le capitalisme ; et sa corruption en particulier), on obtiendrait un système juste.
Je pense qu’à cet égard, le système Chavez est un exemple enviable, si l’on va au-delà du dénigrement systématique. Pour en savoir plus sur ce régime qui se rapproche de l’idéal (mais oui !) prenez connaissance de ce document : ensuite, vous pourrez en parler autour de vous en connaissance de cause, ce qui est rarement le cas chez les beaux parleurs.
Dans ma jeunesse, j’ai étudié l’évangile : je ’y ai pas vu l’éloge du capitalisme, mais j’y ai par contre clairement vu l’apologie du communisme. (Mais chut ! il ne faut pas dire ça, au pays des chrétiens qui vont faire la guerre en priant chaque matin sur la Bible).
Pas ce communisme truqué qui a assuré sa propre chute, mais un communisme propre et sans tache. Quand les hommes seront prêts, en particulier à renoncer à leurs égoîsmes, ce sera un système parfait.
D’accord, ce n’est pas pour tout de suite, mais ça vient. Et Chavez montre que oui, c’est possible.