Commentaire de
sur 11 septembre 2001 : le nouveau film qui dérange l'Amérique
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En France on ne construit plus ainsi depuis qu’un incendie du début du siècle avait montré que les poutrelles métalliques ne résistaient pas au feu (en tout cas moins bien que le béton).
On conçoit donc bien que les poutrelles à l’emplacement de l’incendie initial aient cédé et que l’impact lié à ce premier écrasement ait pu se propager ensuite jusqu’à la base.
L’étonnant se situe toutefois dans la parfaite symétrie du processus : en principe, il est peu probable que toutes les poutres d’un même étage aient cédé en même temps, et on aurait donc du plutôt constater un basculement du sommet de la tour. Et cet étonnement est renforcé dans la mesure où ce même phénomène, si peu probable, se répète sur la seconde tour.
Toutefois, imaginer des charges explosives pose d’autres pbs. En particulier, ces charges devaient être situées à proximité de chaque impact : les avions devaient donc particulièrement bien viser ...