Le « dialogue » entre Vilal, le Maure « blanc » et Samba, le Harattine « nègre », est tout à fait savoureux. Il rappelle les « dialogues » entre Hutus et Tutsis ou encore ceux des héros grecs insultant les Troyens...dans l’Iliade.

Je me demande de quelle école sort Samba, au vu de son orthographe et de son style défectueux. Néanmoins son langage haineux et naïvement injurieux trahit à lui seul son origine servile : c’est l’esclave qui insulte son maître (et le toubab) pendant les saturnales.

On sent que Vilal, le maître, aimerait bien répondre sur le même ton, mais comme il a une certaine éducation, il se retient.

Etes-vous conscients, Messieurs, du comique de votre dialogue ? Me permettriez-vous de l’utiliser pour une anthologie de dialogues truculents.

Pourquoi, surtout, ne vous rencontrez-vous pas pour mettre au point (pacifiquement) une pièce de théâtre utilisant votre dialogue, où vous joueriez votre propre personnage. Je serais presque tenté de la financer car je pense qu’elle aurait un énorme succès.

Pour l’instant, en tout cas, Samba n’a répondu à aucune de mes questions.

Mes amis,reprenez donc votre « dialogue » !

vraitravailleur