Commentaire de emile wolf
sur Mélenchon jubile
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Cher Primate,
Votre prose c’est la fête aux vrais travailleurs !
Un je-ne-sais-quoi, votre stature peut-être ? me fait penser à Xavier Bertrand dés que votre drôlerie quitte l’arbre en feuille morte pour se poser humide et pas très fraîche sur le sol de la bassecour.
Vous comprenez alors pourquoi, le coq, notre emblême, chante en pataugeant dans les logorrhées fourmillant de vers du candidat Sarkozy.