Commentaire de Henri Francillon
sur Nicolas Sarkozy est devenu François Hollande
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Bonjour Traroth, partageant l’analyse de Maurice sur le point FdG, vous comprendrez que je ne la répète pas.
Quant à tenir compte de vos arguments, je dis bien dans mon texte qu’il y a des changements cosmétiques, qui permettent donc aux partisans d’un camp d’être contents et aux autres d’être énervés, mais je répète ici que cela ne permet pas, à mon avis, au peuple de s’entre haïr au point de se voir irréconciliable.
Car sur les « grandes lignes » que sont le mondialisme, la perte de souveraineté populaire et la soumission aux institutions bancaires privées non-démocratiques, la gauche comme la droite sont dirigées par un seul et même cerveau.