Commentaire de SEPH
sur Guerre en Syrie : entre intox, propagande et désinformation
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En Turquie, des parlementaires d’opposition ont visité les camps de réfugiés syriens.
Ils ont constaté l’absence de plus d’un millier de réfugiés enregistrés par les Nations Unies dans le principal camp et, au contraire, la présence d’un arsenal dans le camp.
Ils ont alors
interrogé à l’Assemblée le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan
exigeant qu’il révèle le montant de l’aide humanitaire accordée aux
réfugiés fantômes. Erdogan s’est engagé dans un soutien des terroristes contre la Syrie.
Les députés d’opposition considèrent que le camp de réfugiés est
une couverture pour une opération militaire secrète. Il abrite en
réalité des combattants, principalement libyens, qui l’utilisent comme
base arrière.
Les députés ont émis l’hypothèse que ces combattants sont ceux qui se sont introduits dans le district de Houla lorsque le massacre a été perpétré.
Ces témoignages montrent à quel point une guerre est faite à la Syrie par l’Otan dont la Turquie est membre. L’Otan veut reproduire le scénario libyen pour faire main basse pour les réserves très importantes de gaz en Syrie comme l’Otan l’a fait en Libye.