Commentaire de cliquet
sur Pourquoi j'ai voté Marine Le Pen
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
"Déjà, vous n’aborder les parties politiques que sur le simple
aspect de la sortie de l’Euro, après l’avoir soutenu avec le RPR... )«
Désolé de vous contredire, mais j’ai quitté le RPR justement à cause de cela. Relisez le discours de Ph Seguin sur le traité de Maastricht. Je suis resté au RPR tant qu’il y était et j’en suis parti à l’annonce de son départ.
Sur l’immigration, quelques questions : Quels sont aujourd’hui dans notre pays les moyens d’existence d’un immigré clandestin ? A-t-il du travail automatiquement ? Existe-t-il une structure d’accueil qui puisse le prendre en compte pour l’heberger, le nourrir et lui donner les moyens de vivre ? Existe-t-il simplement une ligne budgétaire ?
Je comprends, ou du moins j’essaye de comprendre, la détresse de ces gens qui abandonnent tout pour essayer de survivre, mais ne croyez-vous pas que ce problème dépasse -et de loin- tout ce que notre pays pourrait faire pour eux ? J’ai un peu connu l’ Afrique post-coloniale et il me semble que la France n’a pas fait que des mauvaises choses. Simplement, il n’est pas politiquement correct de le rappeler.
Je ne comprends pas pourquoi vous parlez d’isolement de notre pays.
La dictature du prolétariat auquelle je fais référence est un simple clin d’oeil à Karl Marx, et vous savez comment a évoluée la révolution d’Octobre, avec notamment l’assassinat de Trotsky...
Enfin, vous considérez que le vote pour le FN (et tel n’est pas mon cas, car, gaulliste indécrottable, je vote pour un(e) candidat(e) et pas pour un parti), est une menace pour la démocratie. Je vous conseille la lecture de l’excellent ouvrage de Naomi Klein »La stratégie du choc ou le capitalisme du désastre" et vous verrez que le néolibéralisme économique qui semble faire consensus en Europe et dans la zone euro est une menace autrement plus sérieuse pour nos démocraties. N’oubliez pas qu’Hitler n’est pas arrivé au pouvoir grace à une idéologie politique, mais à la suite d’un désastre économique.