Commentaire de Lamouet
sur Avis de tempête sociale dans les médias
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L’histoire enseigne pourtant, qu’avant la seconde guerre mondiale, la France occupait une place de choix dans la liberté d’expression et que les quotidiens exprimaient volontiers leurs convictions et leurs engagements politiques, sans concession, ni servilité
La presse faisant désormais partie des « chiens de garde » n’a, aujourd’hui, que ce qu’elle mérite