Commentaire de Jean-Paul Foscarvel
sur Les faces du capitalisme
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Si c’était peut-être vrai au début, voire jusque dans les années soixante, oú des rentiers finançaient des entreprises globalement socialement utile (on peut enore en discuter), aujourd’hui, ce n’est plus du tout la même démarche.
Il s’agit de faire de l’argent par tous les moyens, y compris celui de ruiner un État.
Peut-être ce dernier volet manque-t-il à l’analyse : la plus-value fondée non sur le travail ou l’information, mais directement sur la spoliation financière des États, et par leur intermédiaire (car ce sont les pauvres qui payent le plus), des populations. Mais ce n’est plus vraiment de plus-value, car il n’y a aucune valeur créée. C’est le vieux système de l’usure.
Le système a plus d’un tour dans son sac, le problème étant que les analystes (sincères), ont toujours une longueur de retard, dans la mesure oú on ne peut qu’analyser le réel, et non des potentialités théoriques a priori.
NB : les banksters ne sont ni plus ni moins que des usuriers mondialisés.