Commentaire de Benoît RIVILLON
sur La très-ordinaire histoire de Benjamin Rives
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Cher Monsieur Le Péripate,
Je n’accepte pas que vous mettiez en doute ma probité publiquement aussi facilement. Rien ne « cloche » dans ce récit à part le traitement de Pôle emploi.
Dois-je aussi mettre en ligne le scan de la lettre de cet intermittent au Médiateur pour voir, qu’on rie un peu ?
Les heures d’enseignement dont vous parlez ne peuvent excéder 55 heures, ce qui est ridiculement faible (symétriquement, on ne cherche pas autant de poux aux profs-remplaçants qui officient dans l’audio-visuel...et j’ai des noms...) et ces heures doivent de plus entrer dans un champ « artistique ».