Commentaire de Initiative Citoyenne
sur Accident de car de Sierre : l'antidépresseur du chauffeur en cause et/ou un syndrome de sevrage ?


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Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 4 septembre 2012 12:13

Un peu faux ? Au simple motif de ce que vous dites ? Un peu léger comme « argumentation »... la page Wikipedia classant la somnolence parmi les effets secondaires « fréquents et gênants » ! Les gens qui connaissent un peu le monde du médicament savent très bien que les notices sont déjà loin, très loin d’être exhaustives et que ce qui y est écrit est toujours écrit parce que les fabricants y sont effectivement contraints et forcés avec un risque juridique. Ces effets notés ne le sont donc jamais vraiment avec « gaieté de coeur » des fabricants bien sûr qui ne cessent de présenter tous leurs produits comme autant de « progrès » médicaux à chaque fois...

Rationnellement parlant, les éléments discutés ci-dessus ne sont pas du tout à exclure. Si la notice indique que dans certains cas, un seul oubli d’une prise ou que le sevrage du médicament peuvent donner lieu à des symptômes parfois gênants, incluant troubles de la vision et confusion notamment, pourquoi exclure à priori cette possibilité, certes gênante pour les industriels concernés ??!

En outre, le fait que des grands pontes aillent affirmer de façon péremptoire au public que telle ou telle molécule n’induit pas la somnolence alors que cela la provoque chez des milliers de consommateurs selon la notice, cela ne vous choque pas ? C’est sans doute votre conception bien à vous alors de ce qu’est « la bonne expertise ».... Mais il est vrai que d’autres experts nous avaient déjà habitué à des dénis du même genre comme par exemple le Pr Goubeau, virologue de l’UCL, qui avait explicitement affirmé à la télé (RTBF) que le vaccin H1N1 (Pandemrix) ne pouvait pas donner lieu ni à des troubles cardiaques ni à des paralysies, alors que la notice indiquait pourtant expressément le risque de Paralysie de Guillain-Barré. Et pareil pour le lien entre sclérose en plaques et vaccin hépatite B. Lorsqu’on retrouve épidémiologiquement parlant un « boom » de 60 000 scléroses en plaques en plus à notre époque qu’avant le début des campagnes massives de vaccination anti-hépatite B en France et qu’on ne retrouve aucune autre cause possible, il faut pouvoir être logique et reconnaître comme facteur prépondérant une pratique et un produit qui induisent précisément des bouleversements immunitaires souvent incontrôlables, sans parler du processus de mimétisme moléculaire scientifiquement déjà abondamment discuté !

Enfin, rajoutons aussi une précision concernant ce drame de Sierre pour tenter d’être le plus complet possible : alors que certains médias ont déclaré que c’était la piste du « malaise » qui était privilégiée (comme l’a par exemple fait la RTBF dans le lien que nous avons mentionné), d’autres, comme le journal suisse Le Matin, ont plutôt prétendu le contraire, en déclarant l’hypothèse du malaise peu vraisemblable.
Dans ces conditions où il n’est absolument pas certain que le chauffeur ait fait un « malaise » au sens cardio-vasculaire du terme, il nous apparaît donc plus qu’important de savoir prendre en compte la piste médicamenteuse très intéressante, tout simplement parce qu’il ne reste plus tellement d’autres possibilités alors, au vu des résultats d’autopsie.

Nous vivons dans une société qui médicalise de plus en plus les gens, ce qui leur fait hélas perdre leur autonomie mais aussi à force, leur bon sens. Abrutis par toutes sortes de pollutions chimiques inhalées, ingérées (additifs, pesticides, mercure dentaire etc), les gens qui sont polymédicamentés et polyvaccinés ajoutent en fait une dose de pollution chimique au lourd bagage toxique que la plupart d’entre nous doivent déjà porter. Comment s’étonner alors que pour toute une série de gens, ce qui peut en totaliser bien sûr des dizaines de millions à l’échelle du monde, cela puisse se solder par des maladies, des décès, des tragédies et des drames ?? Si tout est fait pour entretenir les gens dans la dépendance et dans la croyance que les médicaments allopathiques (très utiles et nécessaires dans certains cas) sont toujours et en tous temps indispensables à chacun à la moindre occasion, c’est avant tout parce que nos propres autorités sanitaires nous ont trahies et s’estiment être « les partenaires naturels » (dixit propos hallucinants lus sur le site du Sénat français) des grosses multinationales pharmaceutiques ! De ce fait-là, le discours des officiels qui devrait, s’il n’y avait aucune collusion, être un discours neutre et objectif à la fois sur les prétendues vertus et sur les risques supposés, est en fait désormais un discours de type promotionnel. Cette confusion des genres est évidente et consiste en fait à favoriser de façon artificielle un monopole allopathique. Ceci étant dit, les frasques des pharmas étant telles (avec le Paxil/paroxétine notamment d’ailleurs !) que ces dernières ont finalement un gros intérêt à prendre faussement distance et à laisser désormais les officiels se charger à nos frais de s’occuper de leur publicité. Avec les vaccins, c’est ce qui se passe, de peur de la méfiance légitime du public pour des produits insuffisamment évalués, les officiels interdisent la pub des fabricants, pensant naïvement qu’en s’en chargeant eux-mêmes, les gens auront alors plus confiance. Si c’est certainement vrai pour les personnes les plus crédules d’entre nous, il n’en demeure pas moins que pas mal de masques sont déjà tombés et qu’en Belgique par exemple, les autorités officielles ont été sévèrement désapprouvées pour PUBLICITE TROMPEUSE sur les vaccins, le Jury d’Ethique publicitaire ayant estimé que cette réclame en faveur des vaccins tout au long de la vie était « de nature à induire le consommateur en erreur » ainsi que contraire aux exigences de loyauté et de véracité auxquelles des firmes commerciales sont normalement censées être soumises en vertu du Code de la Chambre de Commerce Internationale.
Il est à la fois grave et dommage de désinformer les gens sur les risques et bien sûr, en parallèle ou en même temps, de les désinformer sur l’existence d’alternatives plus sures possible. Cette atteinte continuelle au pluralisme thérapeutique découle finalement très logiquement des aveux de ces officiels qui ne se cachent plus d’être les « partenaires naturels » de ce tout chimique et pharmaceutique (c’est d’ailleurs aussi ce qu’on constate entre les autorités européennes et des géants toxiques comme Monsanto, tant et si bien que dans un questionnaire OFFICIEL, l’Union européenne se prend « étrangement » à aller sonder les gens sur l’image négative ou positive que véhiculerait pour eux Monsanto alors que ce genre de questions n’a rien à faire dans un questionnaire sur le type de politique à mener... à l’heure où de plus en plus de gens mangent bio, les officiels veulent en fait tout simplement sonder les gens pour pouvoir stratégiquement mieux aider « leurs partenaires naturels » style Monsanto ou autres à gagner plus du temps et à mieux désinformer les consommateurs à leur profit, grâce à une meilleure compréhension de ce qui rebutent les gens). 

La vaccination antigrippale (ainsi que d’autres) pourraient bien être source d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) selon des données américaines. Chacun s’accordera a dire qu’un AVC est une atteinte très grave avec souvent hélas à la clé de lourdes séquelles, des incapacités ou arrêt d’activité professionnelle et aussi des décès. Combien de gens auraient pu éviter un AVC en ne se faisant tout simplement pas vacciner mais en prenant par exemple à la place un peu de vitamine C ou l’une ou l’autre plante aux vertus phytothérapeutiques immunostimulantes comme le sureau, l’astragale ou l’échinacée par exemple ? Ce genre de question qui pourra sembler surréaliste à certains en raison d’un conditionnement ou d’une idéologie paraîtra tellement incontournable à d’autres. De même, des plantes comme le millepertuis aux vertus antidépressives connues (et qui se vendent aussi en pharmacies d’ailleurs) n’auraient-elles pas pu constituer une alternative plus sure et au moins aussi efficace chez un patient comme l’était le chauffeur, si seulement son médecin avait été au courant ? Voilà des questions certes impertinentes mais légitimes que des citoyens pourraient et gagneraient, selon nous, à se poser. Au nom de la mémoire des enfants et des autres victimes.


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