Commentaire de Georges Yang
sur Ballade avec Brassens 2012
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J’aime beaucoup Brassens, mais il faut reconnaitre que ce répertoire a vieilli, à l’encontre de Brel qui reste hors du temps (ne me quitte pas, tant qu’on a que l’amour sont intemporels)
Brassens, c’est une France encore rurale (le marché de Brive la Gaillarde , et nous au pays on a de beaux assassinats) légèrement égrillarde (le pornographe du phonographe, paroles qui de nos jours n’offusquent plus) anticléricale dans un pays où il n’y a désormais plus de curé
On a vanté ses paroles, mes les mélodies sont bien plus élaborées qu’il n’y parait, en particulier reprises sur le mode jazz
Et puis Brassens, Brel , Ferré fumaient tous les trois, ce qui en fait de nos jours des gens infréquentables (la mauvaise réputation a changé)
Brassens reste grand malgré tout
Dans les hommages chanté, vous avez oublié Denis Pépin
Paco, c’était bien aussi