Facebook ne peut que rendre les gens malheureux puisque son but est de susciter le manque par des moyens psychosociologiques afin de mieux les préparer à l’affichage publicitaire, seule source de revenus de cette entreprise.

Les moyens psychologiques en question sont l’idéalisation d’autrui et la comparaison déceptive. L’idéalisation d’autrui commence par la mise en valeur de son propre espace personnel, car chacun y met préférentiellement le contenu qui le valorise, et la comparaison déceptive entre notre vie réelle (différente de notre vie affichée) et la vie affichée de nos amis (que nous tenons pour réelle, alors qu’elle est pourtant autant mise en scène que la nôtre).

C’est simple comme bonsoir, et je suis beaucoup plus heureux depuis que je n’y suis plus.