Commentaire de Cassiopée R
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Cassiopée R 5 novembre 2012 15:48

La répartition des richesses créées pose la question, est-ce que les entreprises les plus influentes du capitalisme accepteront de réduire ses profits en faveur de l’emploi et l’intérêt général.

L’exemple des banques, qui ont été renfloué massivement, montre que l’argent qui provient de la BCE ou des autres banques centrales dans le monde, a été épargné ou manipuler pour des intérêts financiers propres aux banques et à leurs principaux fournisseurs si besoin en était. Alors que le but original médiatique, soutenus par les financiers, les politiques ou les économistes, était de les utiliser pour prêter.

Cette situation se retrouve dans les rendements qu’exigent les banques ou les financiers des multinationales, l’argent pour réaliser plus de profits est la donnée obligatoire pour faire du commerce. Ce qui ne fait qu’amplifier la crise écologique, la dureté du travail avec des horaires qu’il faudrait adapter au rythme du renouvellement des ressources naturelles et une redistribution des richesses qui permettrait de faire prospérer une cohésion sociale.

Seulement la doctrine du capitalisme est de produire toujours plus, même si il y a déjà surproduction, de diverses sortes. Comme la donnée principale est uniquement comptable, les autres problèmes ne font pas partie du processus économique, et les problèmes même s’ils ne surgissent pas directement, vont de toute manière apparaître plus tard.

La composition de la société est exclue du processus, car les données comptables pour faire plus de profits, et les maximiser davantage jusqu’à épuisement (la finitude), rareté durable ou disparition irréversible, ne sont pas intégrés dans la manière de produire. De plus, les richesses créées devraient permettre de se prémunir sur des années, avec une nouvelle mise en place du temps de travail et une nouvelle redistribution des richesses.


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