Commentaire de Onecinikiou
sur L'agonie des cités
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@ Gabriel,
Eventuellement pourrait-on vous reprocher de ne pas avoir l’acuité suffisante - ou le courage intellectuel - de ne pas dénoncer le vecteur fondamental des conséquences sociales et culturelles que vous cherchez pourtant à mettre en évidence : l’immigration de masse.
Conclusion d’un article qui met en perspective la portée du double discours des complices du projet de Grand remplacement, et le degré de boboïtude n’est d’ailleurs pas seulement insupportable. Surtout, le totalitarisme sous-jacent qui s’en dégage est à la hauteur de la faillite morale de celles et ceux qui le véhiculent. L’analyse du transfert psychologique pour justifier la haine des plus lucides sur ces questions est, quant à elle, totalement confortée.
»Comme disait Sophocle : « Le mauvais exemple est contagieux ». Nos lecteurs imaginent que Madame Delaunay habite le Grand-Parc, quartier de mixité par excellence au sein de sa circonscription. Pas du tout, le député réside dans un quartier les plus huppés de la ville, près du Jardin-Public, où la concentration de migrants est une des plus faibles à Bordeaux. Faites ce que je dis, pas ce que je fais !"
Ensuite l’on pourra toujours chercher (comme le souhaitent les gauchistes attardés, les mêmes exactement qui ont fui comme des dératés les banlieues dites sensibles) à vouloir imposer aux individus, au groupes sociaux, de vivre-ensemble, si ils ne le veulent pas - et ils ne le veulent pas - nous achopperons irrémédiablement, comme achoppe irrémédiablement toute « politique de la ville » depuis des décennies, malgré les dizaines de milliard, que dis-je les centaines de milliards, déversés en pure perte.
Et ils ne le veulent pas non pas pour les raisons purement matérielles ou socio-économiques, ce que les idéologues marxisants pensent assez naïvement il faut bien le dire, mais bel et bien parce que ces quartiers dont le visage se transforme démographiquement, et partant de là culturellement quand ce n’est pas religieusement, ne correspondent plus à l’aspiration et au projet de vie des autochtones (ou français de souche), qui ne se reconnaissent pas - et réciproquement - dans des cultures, des traditions, des langues, des us et coutumes, des histoires particulières qui ne les concernent pas et dont ils se défient majoritairement. Ils ne veulent donc pas de cette mixité pour des raisons qui sont essentiellement des raisons anthropologiques. Et je rajouterai que là est leur droit le plus légitime, étant eux, a contrario des nouveaux venus, sur le territoire de leurs ancêtres. Ils n’ont donc pas ni à se justifier, ni moins encore à s’accommoder ou se soumettre à des cultures qui ne sont en rien la leur. Voilà la réalité tel qu’elle est, non telle que l’on aimerait idéalement qu’elle soit. Face à cette réalité irréductible, que compte faire nos idéologues à l’encontre des penchants naturels des individus, et des individus eux-mêmes, leur tirer une balle dans la tête comme au temps de feu l’URSS ?
Une fois n’est pas coutume, Jacques Marseille :