Commentaire de Eurasie
sur L'huile de l'Arbre


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Eurasie 29 novembre 2012 21:53

C’est une mode bobo libérale de déraciner les oliviers ... et les gens aussi ...
 
Les immigrés auto-déportés comme esclaves modernes, et les indigènes souchiens eux sont des déracinés sur pied ...
 
Tous ça pour un grand mélange baobab - épicéa dans un parc de banlieue bétonnée Duflot ... ^pour que les dealers fasse leur trafic et vende du chichon aux bobos.
 
Le Grand Replacement, l’uniformisation des peuples.  (pas évident de faire la transition ...)
 
Plus compliqué, dans les racines Bobobab ...
 
Dans la Grèce ancienne, le travail est dévalorisé et Annah Arendt montre bien que ce n’est nullement parce qu’il existe des esclaves . Il en va de même de tout ce qui a trait à l’échange commercial. Ce n’est pas que la nécessité économique passe inaperçue, c’est au contraire parce qu’elle n’est qu’une nécessité. En tant qu’elle représente le royaume de la nécessité, dit Aristote, l’économie est étrangère au royaume de la liberté. La liberté ne s’acquiert que par une adhésion à des valeurs plus hautes, et subsidiairement par un mode d’action, l’action politique, qui ne peut s’exercer que dans le cadre de la vie publique. Cette dévalorisation générale des valeurs marchandes s’est longtemps maintenue dans l’histoire de l’Europe. L’avènement de la classe et des valeurs bobos y a mis un terme. Et ici, il faut bien entendu rappeler que Karl Marx n’a nullement rejeté l’analyse en termes de valeur-travail qu’il a trouvée chez Adam Smith ou Ricardo, mais qu’il en a fait au contraire la pierre angulaire de son système, le boboïsme bodruchonien, une gueuserie infantilisée par Etat-Maman, dont l’essence même et sa production dans l’étable commune
 
L’ « ordre tribal » de l’Athènes antique, reflète une morale primitive, une société refermée sur elle-même, dont les membres se connaissent tous entre eux et déterminent leur conduite en fonction d’objectifs concrets qu’ils perçoivent. Un euphémisme de dire que ce n’est pas le cas du Benêtland. Les citoyens antiques les déterminent de manière homogène, car ils ont un seul code de conduite homogène. La meilleure preuve étant la persistance des classes riches et pauvres. Un cas plus extrême est celui de Sparte, ou l’argent personnel servait à jouer aux dés ... très, très loin de la lutte des classes bodruchonienne. Dans cette société de vergogne à vergogne, agencée en fonction de finalités collectives à atteindre (écrabouiller Sparte par exemple, ou les macédoniens, ou les perses ...), les rapports humains, largement déterminés par les instincts (entraide, territoire, puissance etc ...), sont essentiellement fondés sur la tradition, la religion (polythéisme lié à la nature), la guerre, et la solidarité condition nécessaire et non finalité. La réciprocité et l’altruisme à l’intérieur de la Cité face aux autres Cités, pas du boboïsme. Évidemment le citoyen guerrier entrainé d’Athènes rigolerait aussi du bobo, sujet de l’État Maman infantilisant, et des tarzans de la tété « je suis là pour te protéger, petit bobo ! ».
 
A Athènes les métèques (riches étrangers) n’auraient pas bloqué le périph pendant une heure pour leur mariage smalla de colons ...


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