Vous ne savez pas de quoi vous parlez
Ou alors vous faites preuve d’une mauvaise foi évidente
Avez vous entendu du « new deal » de Roosevett.
Non, ce n’est pas la marque de whisky préféré de notre Depardieu, de moins en moins national : Sur ce sujet je m’oppose fermement à une nationalisation de la marque. « L’état ne peut pas tout » comme on dit. Et surement pas sauver de vieux débris !

Bon, revenons au new deal, un peu d’histoire du monde capitaliste ne fait de mal à personne, surtout à ceux qui hurlent en ce coinçant les doigts en refermant la porte de leur coffre fort.
Ce n’est qu’en revoyant les termes de l’imposition, faisant passe le taux marginal, à partir de 200000 dollars à 94 pour cent, par exemple, et par une politique volontarisme, autant sociale, que basée sur de grands projets étatiques, qu’il permettra le relance du système totalement grippé par le krach de 29.

Ce monde vermoulu, attaqué par les parasites, et la mise en pratique du modèle économique de Friedman, n’en finit pas de déchoir, depuis les années 80, et cette libération sauvage des marchés, avec un accroissement prodigieux des inégalités.

Là où les disciples protestants ayant amené le capitaliste « vertueux » conseillaient il y a un siècle de respecter une échelle de un à dix, nous en sommes maintenant à 1 pour mille, voir pou dix mille.
l’éat n’est plus qu’une pauvre ambulance, une voiture balai récupérant les laissés pour compte, il est vrai de plus en plus nombreux.
Des état ayant renoncé à leurs devoirs régaliens, ayant filé les bijoux de la couronne aux copains ( l’énergie, les autoroutes...) n’a plus les moyens de faire face aux formidables enjeux du futur.

Les aubaines existent maintenant pour ceux qui veulent se tirer, et éviter la peste.
En quoi, ils se trompent, à l’instar de ce pauvre gérard se sauvant sur sa mobylette.
On ne court jamais assez vite quand un tsumani se prépare !