Commentaire de Deneb
sur Après la dématérialisation de la musique : celle du livre ?
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Excusez moi de vous avoir traité d’agent de machin, mais quand j’entends parler de consommation en rapport à la culture, comme dirait l’autre « ich entsichere meinen Browning ». C’est est un cheval de Troie sémantique pour nous faire accepter que l’immatériel = matériel. Aussi, parler de DRM « souples », c’est un peu comme si l’on parlait du nazi modéré. Tous les DRM sont craquables par un script-kiddie moyennement doué. Mais rien que d’avoir l’idée de bloquer une oeuvre de cette manière démontre l’optique mercantile du distributeur.