Commentaire de ROBERT GIL
sur Faut-il mourir pour Bamako ?
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L’on peut tourner le problème dans tous les sens, c’est d’abord la pauvreté et la misère qui sont les causes de cette situation ; si les gens mangeaient à leur faim, pouvaient se soigner, travailler et vivre décemment dans leur pays, il est certain qu’ils n’auraient pas envie de se faire « trouer la peau » ou d’immigrer loin de chez eux. C’est la cupidité de quelques uns qui est responsable de la situation. Pour satisfaire la cupidité d’un petit nombre l’on maintient la majorité dans la pauvreté et le chaos. Le chômage de masse des jeunesses arabes et africaines risque de fournir des combattants par milliers, ici ou ailleurs, aux résistants qui risquent de surgir face à l’agression du gouvernement Français. Tant qu’il n’y aura pas un partage équitable des richesses, il faudra que l’argent public entretienne une armée prête à défendre les intérêts privés d’une oligarchie sans scrupule..........