Commentaire de olivier cabanel
sur Des vers peu solitaires
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Aita
bon je vais la décrire, cette belle position...
prenez avec deux mains les manches de l’outil
sans se casser les reins...
d’abord bien enfoncer les fourches dans la terre,
puis baisser doucement, en remuant la terre
les herbes incongrues, celles que nous refusons, vont refaire surface,
nous les éliminons, pour faire de la place.
la terre aérée nous en remerciera
puis dans ce sol si meuble, il sera très facile d’enfouir toutes nos graines
je ne pouvais décrire cette position autrement qu’en alexandrins que vous aviez, bien sur, habilement remarqué...
