Commentaire de Peachy Carnehan
sur Il n'a donc rien vu venir
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Tant que les politiques parfumés ne comprendront pas que les peuples rejettent le néolibéralisme, la dérégulation, le marché « libre et sans entraves », les banksters, l’entrée du renard dans le poulailler, les lobbyistes et l’Europe a-démocratique, ils seront battus à plate couture. Ils sont hachés menus.
Et s’ils s’acharnent à nous faire passer du bœuf français pour du cheval roumain au prix du caviar russe, ils se prendront un cataclysme de l’histoire pur porc dans la gueule.
Il y a des nuages noirs dans le ciel.