Commentaire de Oliver HACHE
sur Prime à la casse
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Je ne parle pas que de la propriété des enteprises. L’exemple pris portait même plus sur le saccage d’un bâtiment public. Qui paie la réparation des dégâts dans ce cas ? C’est vous, moi. La communauté. Je ne suis pas d’accord.. !
Par ailleurs, comment définir que telle propriété peut potentiellement être mise à sac, et pas telle autre.. ? Quel % d’actionnaires. Actionnaires français ou étrangers : Pareil ? Pas pareil ?
Et si, pour finir, les délégués syndicaux avec lesquels je négocie régulièrement faisaient preuve de mauvaise volonté (Dieu merci, tout se passe bien.. !), pourrais-je légitimement creuver leurs pneus pour exprimer mon mécontentement ? Parce que, vu de mon côté, c’est un obstacle au bon développement de l’entreprise et, donc, néfaste pour ses salariés...
Pour moi, il n’est qu’une seule règle qui tienne : qui casse, paie.. !
Cordialement.