Commentaire de ROBERT GIL
sur Les paradoxes récents de la stigmatisation des agences de notation
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Si l’État cessait de mener une politique ultra-volontariste pour saigner les populations afin de servir la dette et rassurer les marchés, les groupes financiers seraient en faillite. L’État n’aurait plus qu’à les nationaliser et (respectons les formes !) pourrait les payer un euro symbolique... !
voir : METTRE AU PAS LA FINANCE