Commentaire de L’enfoiré
sur La croissance et ses limites dimensionnelles
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Robert,
Encore une fois d’accord avec vous.
J’entre dans votre paroisse. 

La décroissance est une utopie.
Nous sommes au stade où on peut presque tout faire à condition d’y mettre le temps et le potentiel financier (potentiel qui d’ailleurs n’est pas vraiment un obstacle).
La question reste du pourquoi faire une chose plutôt qu’une autre.
Ce genre d’idée de la finitude du monde, de la décroissance ne date d’hier.
Malthus bien sûr.
L’infréquentable Pierre-Joseph Proudhon, anarchiste, il estimait que la valeur d’une chose doit être évaluée selon son « utilité », ses effets sociaux, réels et matériels.
Cette époque du virtuel qui dépasse en valeur le réel, devrait le secouer.
Mais, c’est pour faire court que j’arrête ici, pour Bruge.
