Commentaire de Ariane Walter
sur Les Grandes Gueules
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Le comble de la nullité, pour ceux que je fais râler par ma liberté de ton est de m’envoyer mon âge a la tête. Le noble et élégant Papybom n’y manque pas. Cela me fait bcp sourire car cet âge est pour moi le summum de la liberté, de l’aisance, de la sérénité et de la séduction. On ne souffre que de ce qui manque. Jamais je n’ai vécu de période aussi complète et joyeuse. Mais je pense que cela se sent d’où cette jalousie vipérine sous la plume de certains(es). Mais je vais reprendre ce que m’a dit un jour le proviseur d’un lycée où je travaillais. Une collègue , que dieu ait don âme , elle est morte, tenait sur moi des propos calomnieux. Dans un premier mouvement de colère, je l’avais esquichée contre un mur en pleine salle des profs, puis j’étais allée voir le proviseur qui m’avait écoutée un petit sourire aux lèvres. Quand j’avais eu fini ma diatribe il m’avait dit : « ne vous inquiétez pas. Tout le monde la connaît. Et puis... Regardez-vous et regardez-la... »